Stéphane Lupasco résume d'abord sa conception nouvelle de l'énergie et en dégage une notion inédite de l'âme, c'est-à-dire du système neuro-psychique. À partir de ces principes, l'auteur ouvre des voies nouvelles à la sociologie. Il tente d'examiner la présence et le rôle qu'y joue le psychisme, en montrant que celui-ci ne se développe, dans toute sa force de contrôle et de connaissance de la connaissance, qu'au sein de l'homme individuel. Un psychisme sociologique des peuples, donc de l'Histoire elle-même, s'il est profondément souhaitable, est-il néanmoins possible ?