Puissent les cent termes réunis dans ce livret donner envie aux lecteurs - traducteurs, interprètes et usagers - de découvrir la banque quadrilingue de la Communauté française de Belgique !
Peu savent que plus de trois mille termes sont accessibles sur le site du Service de la langue française.
Ces termes désignent des réalités nouvelles appartenant à des domaines divers tels que l’économie et les finances, les transports, la culture, l’énergie nucléaire, le génie génétique, la chimie, les techniques de l’information et de la communication.
La collection « Guide » de la Fédération Wallonie-Bruxelles offre au public des outils pratiques de référence ou de réflexion sur la langue française !
EXTRAIT
Certains d’entre eux, comme « covoiturage » et « courriel », se sont introduits dans l’usage courant. D’autres déjà usités en France, comme « stadier, stadière » (steward) et commerce, administration... « en ligne » (e-commerce, e-administration...), gagneraient à entrer dans notre usage. [...]
Grâce à ce livret, le Conseil supérieur de la langue française souhaite faire connaître ces termes et surtout les faire circuler. Les traducteurs, les interprètes, les correcteurs et autres professionnels de la langue auront intérêt à consulter directement la banque terminologique.
À PROPOS DE L'AUTEUR
En Belgique, le Conseil supérieur de la langue française a été créé en 1985. Il conseille le gouvernement de la Communauté française de Belgique sur toute question relative au français et à la francophonie ou sur toute question sociale ou politique qui présenterait un aspect linguistique. Ses missions sont aussi d'être attentif à l'évolution de la situation linguistique en Communauté française, de susciter des recherches sociolinguistiques et des actions de promotion du français auprès de la population. Exemples de dossiers traités : la question du français dans les sciences et dans la recherche scientifique ; la féminisation des noms de fonctions, titres et métier dans la terminologie officielle ; la planification de la création lexicale en matière de science et de terminologie ; la lisibilité des documents administratifs ; la formation à la rédaction scientifique et technique ; la protection linguistique du consommateur ; l’élaboration et la diffusion de rectifications orthographiques (orthographe d’usage et orthographe grammaticale).