L'homme qui pleure de rire - Frédéric Beigbeder

L'homme qui pleure de rire

Par Frédéric Beigbeder

  • Date de sortie: 2020-01-02
  • Genre: Romans et littérature
Score: 3.5
3.5
From 115 Ratings

Description

Octave Parango a été concepteur-rédacteur dans les années 1990, model scout dans les années 2.000 . Le voici qui découvre dans les années 2010 un nouveau métier…
  Après 99 Francs sur la tyrannie de la publicité et Au secours pardon sur le marchandisation de la beauté féminine, ce nouveau roman satirique, hilarant et désespéré clôt la trilogie d’Octave Parango sur les aliénations contemporaines.
Tout est malheureusement vrai (et vécu) dans cette satire, hilarante et désespérée, des dérives de notre société de divertissement.

Évaluations

  • Assez pénible à lire

    1
    PAr trataratatal
    Des passages drôles et intelligents mais la majorité de l’histoire reste assez barbante.
  • N

    5
    PAr Yanis213Bg
    T M
  • Grosse déception

    2
    PAr MarcFleurines60
    Beigbeder ressasse toujours et toujours les mêmes idées de “post-decadent” jusqu’à l’écœurement. Roman sans intérêt, je me suis forcé à le lire jusqu’à la fin en attendant l’idée géniale mais rien ... tout est dit dans le livre, l’auteur est une imposture sans génie particulier, belle démonstration en effet. Un fan déçu ...
  • Un livre qui vous LOL à la peau

    5
    PAr PaCa-Malakoff
    Nous vivons dans une dictature du LOL et fonçons droit dans le mur en ricanant (souvent sottement). Telle est la thèse d’Octave qui, pour un rabat-joie, est quand même bien bien libéral. L’absurdité de nos gesticulions, la détresse, le temps qui passe et qui s’effondre même, la cinquantaine venue... Quelle mise à nue... Quel courage.... Quelle folie... Ce roman est vraiment 👍 (😂).
  • Le retour d’octave

    5
    PAr Le Panda
    Le retour d’octave et derrière on suppose les états d’âme de Frédéric Beigbeder qui ont précédé sa rupture avec France Inter, pardon France Publique. On passe avec Octave les heures qui ont précédé ce suicide médiatique et suivons un Octave qui ne se sent plus dans son temps ... encore que ... au final c’est peut être lui qui est en avance une fois de plus. Ce troisième volet fait comme les précédents, à travers ce personnage d’octave, un tableau extraordinairement fin de notre société qui doit se recomposer, toujours avec le même humour et style qui font à titre personnel que Beigbeder est passé chez moi, il y a quelques années de statut de « tête à claque » que je présumais, à auteur attachant et beaucoup moins superficiel qu’il ne le fait croire.

Commentaires