La brève de sexe édicte avec humour et dérision, parfois avec méchanceté, ses vérités qui ne sont pas bonnes à dire et encore moins à entendre. Ainsi, le cocu, la chaudasse, l’impuissant, la frigide ou le coincé en prennent pour leur grade. Dans la brève, tout peut être dit car le rire, but essentiel de la brève, abolit tout politiquement correct ; une soupape indispensable dans une société qui s’est impitoyablement durcie.