Le colonel Bentry a toutes les raisons d’être contrarié. On le tire de son sommeil pour lui faire constater un désagrément terrible : une femme, inconnue et vêtue de la manière la plus vulgaire qui soit, a été trouvée étranglée dans la bibliothèque de son manoir. Heureusement, la demeure des Bentry est voisine de Saint-Mary-Mead, le village de Miss Marple…
Dans son autobiographie, Agatha Christie déclarait que le premier chapitre de ce roman, écrit en 1942, représentait pour elle l’aboutissement de son art.
Traduit de l’anglais par Jean-Michel Alamagny