On ne l'a pas assez remarqué, parce que Voltaire a tant fait, tant écrit; son activité s'est déployée de tant de côtés qu'on ne saurait prendre garde à tout, et qu'il est difficile d'attacher à chacune de ses œuvres une importance suffisante. Ainsi en est-il de la correspondance de Voltaire avec le grand Frédéric et encore avec Catherine II.