En regardant son portrait peint par Basil Hallward, le jeune Dorian Gray comprend qu'il sera soumis aux ravages du temps et fait alors un voeu : « Si c'était moi qui toujours devais rester jeune, et si cette peinture pouvait vieillir ! ».
Un pacte infernal l'entraîne alors vers les gouffres de l'immoralité et du crime.
Ce roman d'Oscar Wilde, qui tient à la fois du récit fantastique et du conte philosophique, est aussi le portrait sulfureux de la génération des dandys de la fin du XIXe siècle.