Comme Aristote, M. Barrel pensait que le plus important dans la vie, c’était les loisirs, privilège du gentleman et de l’Anglais authentique. Il n’avait qu’une ambition : devenir millionnaire. Etre millionnaire, c’était le bonheur parfait. Dans ses moments de réflexion profonde, enfoncé dans son fauteuil, après un bon repas, il tournait dans sa bouche comme un bonbon, et en général avec un bonbon ou deux, sa devise : «L’oisiveté, c’est la santé». Le repos était son occupation première. Ne Pas Etre Dérangé, sa règle de vie.