Il existe une abondante littérature apocryphe. Le frère Bernard-Marie a tamisé près de 10 000 pages.
Il a revisité des écrits juifs anciens, ceux des premiers Pères de l’Église, Les Évangiles apocryphes, les textes de Marie d’Agréda, des Bses Emmerich et Mariam, de Maria Valtorta, et même de Marthe Robin qu’il a personnellement connue. De cette masse énorme, scrutée le plus souvent dans les langues originales, il a retenu une centaine de paroles du Christ lui-même.
« Ce livre est une sorte d’Évangile selon les mystiques qui prolonge ce que l’on savait déjà du Jésus du Nouveau Testament, mais en lui apportant un relief nouveau. Il fait entrer dans la contemplation du Christ, vrai Dieu et vrai homme, un peu comme le suaire de Turin » - Père Jean-Gabriel, dans la revue Carmel.