“...il avait compris qu’un solitaire n’a que lui-même à raconter : qui aurait saisi sa jouissance, ses hurlements, l’haleine de Dieu, les plaines ? (...) Les mots, pensait-il, sont un pont qui relie les hommes aux hommes. Ils ne désirait plus être relié aux hommes. Il n’en ressentait pas le besoin. Le pont s’avérait donc inutile, et il le délaissait. Les mots sont portés par la voix. La voix est la pile du pont. Alors, il abattit la pile, ne se parla même plus à lui-même.”