Modèle fondé sur la causalité conçu pour intégrer tous les cas non résolus par la Relativité Restreinte et la Relativité Générale, en intégrant un effet relativiste dans les nucléons qui n'est pas pris en compte par ces théories, et qui réconcilie la Mécanique Quantique avec la causalité.
****
Mécanique électromagnétique des particules (MEM)
Description d'une nouvelle géométrie de l'espace qui permet d'expliquer l'existence de toutes les particules stables physiquement collisionables, les vitesses et masses relativistes et la gravitation, uniquement à partir de la Théorie électromagnétique de Maxwell, et qui ouvre ainsi une nouvelle et très prometteuse avenue de recherche.
Tout en permettant la définition d'une mécanique électromagnétique des particules qui n'a besoin d'aucun champs sous-jacent ni d'aucun médium du vide quel qu'il soit, cette intégration, directement dérivée de la Théorie de Maxwell, reste en parfaite harmonie avec les équations de la Relativité Restreinte, de la Mécanique Quantique et de l'Électrodynamique Quantique avec des ajustements mineurs, les propriétés électromagnétiques habituellement associées à des champs sous-jacents devenant des propriétés propres à chaque particule élémentaire.
Alors que les mécaniques classique, relativiste et quantique décrivent le mouvement des corps et particules, cette mécanique électromagnétique des particules propose une description de leur nature fondamentale et une explication de la cause de leur mouvement, ainsi que la raison pour laquelle elles tendent naturellement à se déplacer en s'auto-propulsant à vitesse constante et en s'auto-guidant en ligne droite lorsqu’aucune force extérieure n'agit sur elles; en plus de révéler une nouvelle source d'énergie potentiellement inépuisable.
Une nouvelle physique qui offre une solution tout à fait inattendue à la question des monopôles magnétiques et explique naturellement d'une nouvelle manière la déflection de la lumière, la stabilité atomique, la soi-disant dilatation du temps, le ralentissement de la rotation de la Terre, l’expansion de l’orbite de la Lune, la précession de l'orbite de Mercure et les deux 'soi-disant' anomalies des trajectoires des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 en intégrant un effet relativiste non encore pris en compte en RR et RG, soit la dilatation des nucléons (résultant en une variation de leur masse au repos) en fonction de l'intensité locale du gradient gravitationnel.